Avec le départ à la retraite de John Hacking, un aumônier étudiant catholique de longue date en septembre dernier, un poste important est devenu vacant au sein de l’église étudiante de l’université. Marieke Fernhout, l’aumônier protestant, a souligné autour d’une tasse de thé chaud, le mélange unique d’expertise et d’empathie que le nouvel aumônier doit apporter pour répondre aux besoins d’un corps étudiant diversifié. Le candidat idéal, selon Fernhout, est non seulement ouvert à l’exploration des dialogues religieux, mais également équipé pour aborder des conversations allant de la santé mentale à la spiritualité, indépendamment de ses propres origines religieuses.
En quête de diversité et de flexibilité
L’église étudiante, creuset d’idées et de conversations, est à la recherche de quelqu’un qui puisse s’intégrer parfaitement à son équipe interconfessionnelle. Aux côtés de Fernhout, du prêtre catholique Jos Geelen et de l’aumônière de l’HAN Nicole Schubert, le nouvel aumônier s’engagera dans un large éventail d’activités. Des séances de méditation aux conseils en matière de deuil, le rôle exige un état d’esprit créatif et adaptable. Cette approche ouverte reflète l’engagement de l’aumônerie à répondre aux besoins changeants de la communauté étudiante, soulignant la flexibilité comme un trait essentiel pour les candidats potentiels.
Plus que de la religion
Au cœur de la mission de l’aumônerie se trouve le bien-être des étudiants. Fernhout développe la nature diversifiée des questions des étudiants, allant des crises existentielles au stress académique, soulignant l’importance d’un aumônier capable de naviguer dans des paysages émotionnels complexes. Le rôle s’étend au-delà des devoirs religieux traditionnels, englobant des groupes de soutien et même des excursions internationales, soulignant le rôle de l’aumônerie dans la promotion d’un environnement communautaire favorable.
Perspectives mondiales et inclusivité
Avec un nombre important d’étudiants internationaux, le nouvel aumônier doit apporter une perspective globale à son rôle. La capacité d’entrer en contact avec des étudiants issus de divers horizons culturels est primordiale, avec des services et des discussions souvent menés en anglais pour s’adapter à la population diversifiée de l’université. Le poste à temps partiel ouvre également des portes aux employés universitaires existants, offrant une opportunité unique de contribuer à la mission de l’église étudiante. Les candidatures sont les bienvenues jusqu’au 18 mars, le poste commençant officiellement le 1er septembre.
Alors que la recherche du nouvel aumônier progresse, l’Église étudiante demeure une lueur d’espoir et de soutien pour les étudiants qui naviguent dans les complexités de la vie universitaire. Le candidat choisi jouera sans aucun doute un rôle central dans la poursuite de l’héritage d’empathie, de soutien et de dialogue interreligieux qui définit l’aumônerie étudiante.